Les prémisses de Pure Evil
C’est en 1990 que Pure Evil aka Charles Uzzell-Edwards quitte la Grande-Bretagne après les émeutes de Londres pour une nouvelle vie sur la côte Ouest Américaine.
Il est devenu designer pour une marque de vêtements streetwear et pour le monde de la musique électronique. Après 10 ans en Californie, fortement influencé par des artistes de la côte Est comme TWIST et REMINISCE, il retourne à Londres, pris une bombe et commença à peindre d’étranges lapins un peu partout. Un parcours et une histoire faits de voyages pour le street artiste Pure Evil.
Le retour à Londres
Pure Evil a commencé avec les personnes derrières le projet GHETTO SANTAS notamment mené par Banksy et a poursuivi en produisant ses propres impressions photos en collage sur des murs. Installé au cœur de Londres, il a débuté son premier affichage « PURE EVIL SOLO ». Avec cette réussite il a ouvert son éponyme « gallerie PURE EVIL » dans un ancien magasin de Dickens, dans les vieux sous-sol de Shoreditch dans l’East End de Londres en 2007.
Pour l’anecdote il est aussi très marrant de savoir que Pure Evil est le descendant de Thomas More qui a écrit L’utopie du travail et qui a plus tard été décapité par le roi Henry VIII (pour une sombre affaire de religion ), il est alors naturel que Pure Evil se devait d’explorer le côté diabolique du street art.
Au cours des 5 dernières années Pure Evil a exposé dans le monde entier en Chine, Russie, Mongolie, Brésil, Etats-Unis et dans toute l’Europe, et en tant que «galeriste accidentel». Il a réalisé plus de 50 expositions différentes avec des artistes émergents et établis.
A noter que grâce au collectif StreeArt.nl vous pouvez acheter des oeuvres de Pure Evil. Ce site est plutôt bien fait, c’est un collectif qui s’est fait porte parole de plusieurs artistes connus comme Bustart & Pahnl. Une découverte très intéréssante pour les plus grands fans du londonien.
A découvrir plus d’informations sur l’artiste avec la vidéo ci-dessous
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